Nouveau PC – Core i7 920 overclocké à 4Ghz

Ma config précédente commençait à dater un peu. Je l’ai donc mise à jour avec ces composants:

  • Asus P6X58D Premium
  • Intel Core i7 920 2,66Ghz
  • Noctua NH-D14
  • 12Go de Corsair dominator (6 x 2Go en tri channel)
  • 2 Western Digital Black 1To / 7200tr/ Sata 3 (6Gb/s)
  • Sapphire ATI Radeon HD 5870 1Go PCIE

Carte mère

Etant content de l’asus actuelle, je suis resté fidèle à cette marque. la P6X58D m’intéressait notamment pour les 8 ports Sata:

  • 2 ports Sata 3 (6Gb/s) via Marvell
  • 4 ports Sata 2 via Intel ICH10R
  • 2 ports Sata 2 standard

J’avais prévu de faire un Raid 1 avec le chipset intel et les 2 disques WD. Pas de chance, les ports Sata 3 ne sont pas vu, car ils sont rattachés au chipset Marvell

Processeur

Il contraste pas mal avec celui que j’ai (un quad core Extreme), car c’est l’entrée de gamme. Ceci dit, une fois overclocké à 4Ghz, il n’a pas grand chose à craindre 🙂

En revanche, le dégagement de chaleur est très important, j’ai donc sorti l’artillerie lourde pour refroidir en silence:

J’ai donc sur le processeur un double radiateur/ventilateur , et un autre noctua à proximité pour évacuer la chaleur du boitier. Les barrettes dominator ont un radiateur très haut, il a donc fallu rehausser le premier ventilateur:

74°c avec tous les coeurs à 100%:

J’ai appliqué la configuration suivante:

Radeon HD 5870

L’aventure n’a pas bien commencé, car le setup ATI plante (même la 10.3):

Désinstaller les composants C++ redistribuable n’a pas aidé. J’ai fini par faire une installation en ligne de commande:

ATISetup.exe -Install -output screen

Ceci dit, nouveau problème: un de mes 2 écrans iiyama a un bon centimètre de noir tout autour !!!

J’ai fini par trouver la solution sur la toile, il faut changer les options de scaling. Cependant l’accès à ce menu ne coule pas de source:

Bilan général

Le gain est très notable, que ce soit sur Bad Company 2 ou sur VMware 🙂

Dommage pour le raid 1, mais je l’ai fait via Windows !

Wireshark: traces du PopCorn Hour

Maintenant que j’ai un PopCorn sur le réseau, j’ai voulu voir son impact sur mon réseau local:

  • 160 paquets au boot sur 1 mn 30

Il génère principalement du multicast DNS (mDNS), et du SSDP. Désactiver le protocole propriétaire myihome permet de réduire pas mal les messages mDNS.

Surprenant, mon PC se met à l’interroger en UDP toutes les 30 secondes, sur le port 427 (srvloc), mais le PopCorn n’écoute pas sur ce port:

TCPView permet de voir le processus à l’écoute sur mon PC, mais il affiche juste le conteneur, svchost:

wireshark_popcorn_tcpview

Process Explorer permet de venir à bout de l’énigme:

wireshark_popcorn_procexp

C’est donc le pilote HP de mon imprimante réseau qui envoi des requêtes au PopCorn. Bien que celui-ci réponde par un message icmp qu’il n’écoute pas ce port, HP continue… Argh!

Voici un filtre Wireshark pour trouver rapidement un boitier PopCorn sur le réseau:

http.server contains "Syabas myiBox"

Test du PopCorn Hour A200

Ayant des problèmes avec ma Freebox (lecture de sous titre, ralentissement, taille de disque faible, remise à zéro du contenu sans rien dire…), j’ai investi dans un PopCorn Hour A200.
Il est vendu sans disque dur, j’ai donc acheté un sata 1To en complément.

Fourni dans la boite:

  • Le boitier PopCorn A200 (quelle surprise 😉
  • Une télécommande rétro éclairée
  • Un cable USB (pour monter le disque interne sur le pc)
  • Un cable HDMI

Cette version n’a pas de péritel (bien qu’elle pas mal de sorties), j’ai donc utilisé du S-Video, n’ayant pas d’entrée HDMI.
L’interface est spartiate, pour ne pas dire très intuitive (lire le petit fascicule associé pour une fois, c’est très court mais y a de l’important dedans!)
Donc une fois le MNT (Media Network Tanl) installé (via un menu bien masqué), le débit en FTP est parfait (10Mo/s sur du 100Mb/s).
Il accepte tout, y compris les formats de str refusé par la Freebox, of course.
On peut décaler en avant/arrière l’audio et les sous titres, s’il y a un problème de synchronisation.

Il est vendu par défaut avec un mini ventilateur pour refroidir la bête, mais on peut le changer par une plaque:

popcorn hour a200 internal

Le ventilateur est gênant si on dort vraiment à côté.

Sinon il fait serveur UPNP, client BitTorrent, et peut lire des web radio.

J’arrive bien à le gérer depuis une télécommande Logitech Harmony One (présentation dans un prochain article)

J’ai un Google Phone (Nexus one)

Après presque un an avec mon loyal iPhone 3G, l’heure du changement a sonné! Le bouton « Home » de mon iPhone était devenu dur suite à des chutes difficiles…

Vu qu’un renouvellement chez Orange de 24 mois pour un iPhone est au même prix que le Nexus One sans abonnement, j’ai fait le pas!

Je l’ai acheté chez « Phone and Phone », afin de pouvoir le tester avant de l’acheter. La voix a fonctionné de suite, mais pas de 3G, ni de Edge. Difficile de croire que c’est la faute du Nexus. Je l’ai donc acheté 🙂

Après 1h30 d’essais de configuration, et de lecture de forum sur les « bons » paramètres pour le point d’accès Edge/3G, je craque… Allô Orange ? On m’explique qu’il n’est pas commercialisé par Orange..bla bla…et que le service technique est saturé, de rappeler Mardi…Pour le « Geek » que je suis, 3 jours, c’est trop long! 15 minutes après, je rappel (sait-on jamais), et le serveur vocal me demande si c’est pour le problème ouvert précédemment (quoi, de la qualité au service client Orange?), je confirme. 2 minutes plus tard (la Force est avec moi), j’ai un technicien, qui me confirme que les réglages sont les bons. Il m’invite à éteindre le téléphone pour faire une « mise en cohérence » de ma ligne. Un reboot plus tard, bingo ça fonctionne !

Ce que j’ai apprécié pour l’instant (venant d’un iPhone)

  • Intégration complète avec les services Google (Labels gmail/Google Apps, Latitude, google talk…)
  • On peut gérer ses mails en local sans accès internet, et sans message d’erreur
  • Le multi tâche (si si…)
  • L’écran est meilleur
  • Le système est « ouvert »: client FTP gratuit, scanner Wifi gratuit…
  • Mes applications « critiques » ont une version android (Evernote, RTM)
  • BlueTooth EDR 2.1 complet (marche nickel avec mon casque Seinnheiser, plus de problème de retour d’audio, changement des chansons possibles…)
  • Carte de stockage entièrement accessible (stockage de documents & co)
  • Appareil photo 5M avec flash et autofocus (j’avais un 3G)
  • La fluidité est meilleure par rapport à mon 3G (lecture de musique via bluetooth + surf & co ; j’avais la musique qui saccadait par moment)
  • La recherche est accessible partout
  • Goggle est impressionnant (reconnaissance d’un objet dans une photo)
  • 4 boutons + trackball cliquable (utile sur les pages web, google maps, là où il faut de la précision ou du progressif)

Ce qui est moins bien:

  • Après un an d’iPhone, on perd l’habitude de 20 écrans de réglages (comment ça faut faire des choix ?)
  • Pas de navigation GPS avec Google Maps en France (Navigon est sur Android Maket)
  • Android Market a 20 000 applications, il y a moins de déchet que sur l’App store d’apple, mais la recherche, preview est moins bien
  • Pas de logiciel pour gérer le téléphone depuis le pc
  • Pas d’écran résumant les éléments nouveaux (sms/mail non lu, appels en absence) par défaut quand l’écran est verrouillé
  • Pas de messagerie vocale visuelle pour la France. Google Voice semble super, mais je suis sur liste d’attente et cela semble réservé aux US pour l’instant.
  • On ne peut pas trier les contacts par nom. En revanche la recherche est effective sur tous les champs des contacts

Applications que j’ai installé (et pas enlevé):

  • 3D Compass
  • Advanced Task Killer Free
  • Dismoioù
  • Documents To Go
  • DroidFTP
  • Earth
  • Evernote
  • Executive Assistant Free
  • Freebox Mobile
  • FreeWifi Connect
  • Gmail unread Count
  • Google Traduction
  • Google Voice
  • Here i am 2
  • Layar
  • Maps
  • MetroMap
  • Nabazdroid
  • NetCounter
  • Network Discovery
  • RTM
  • Shazam
  • SMS unread Count
  • Speed Test
  • Star Wars Sounds and ringtones
  • The Weather Channel
  • Timer
  • Trafic transilien
  • TransParis
  • TweetCaster
  • VDM

Voici les « bons » paramètres, pour Orange France, avec un abonnement iPhone:

APN:               orange
Proxy:             non défini
Port:              non défini
Nom d'utilisateur: orange
Mot de passe:      orange
Serveur:           non défini
MMSC:              
Proxy MMS:         192.168.10.200
Port MMS:          8080
MCC:               208
MNC:               01
Type d'authenti.:  aucune
Type d'APN:        default

SCOM 2007 R2: superviser une VM Linux Amazon EC2

Quelle drôle d’idée vous allez me dire… Mais avoir une ou plusieurs VM dans le cloud ne justifie pas d’avoir une supervision « à part ». Cependant le défi est pas mal:

  • Les Managements Pack Microsoft ne sont pas prévu pour Fedora
  • L’authentification par défaut sur les VM Amazon est à base de certificat

Lorsque SCOM détecte Fedora, il bloque directement: Pour détecter la version, SCOM exécute le script Shell qui se trouve ici: Par ailleurs, le dossier comprend aussi les RPM qui sont installés par la suite (démon). Arriver à notre fin va nécessiter de l’huile de coude à plusieurs endroits…

Pour vous encourager, voici le résultat: Performances SCOM pour une VM Amazon EC2 Vous l’aurez compris, il s’agit notamment de faire croire à SCOM que nous avons une Red Hat. Il y a en fait deux possibilités:

  • Créer un Management Pack pour Fedora.
  • Maquiller la VM pour paraitre comme une Red Hat.

La première solution est la plus élégante, mais elle va être longue à mettre en place, et à maintenir ensuite. J’ai donc préféré la seconde, surtout qu’une Fedora n’est pas très éloignée…

Modifications sur le Linux Amazon EC2

Autoriser la connexion SSH sans certificat

dans /etc/ssh/sshd_config:

PasswordAuthentication yes
PermitRootLogin no
#Supprimer également la dernière ligne du fichier qui permet un logon root sans mot de passe

Il faut ensuite donner un mot de passe au compte root:

passwd root

puis recharger la configuration:

/etc/init.d/sshd reload

Puis créer un compte utilisateur pour SCOM:

useradd scom
passwd scom

Vérification du hostname

Par défaut, la VM a pour hostname son adresse IP interne. SCOM va déployer un rpm afin d’avoir un démon sur la VM, et génèrera un certificat pour s’authentifier.
Il est impératif que le hostname corresponde au nom utilisé par SCOM pour joindre son agent. Le plus simple est de changer le hostname par un nom accessible via les dns publiques, par exemple www.lotp.fr:
hostname www.lotp.fr
Afin de résister à un reboot, il faut également modifier /etc/sysconfig/network an ajoutant:
HOSTNAME=www.lotp.fr

Dépendances

Le package RPM de Microsoft a des dépendances, notamment sur deux librairies:

  • /usr/lib/libssl.so.6
  • /usr/lib/libcrypto.so.6

Si votre système a une version plus récente (so.8 …), il suffit de faire des liens symboliques (ln -s cible fichierquiexiste):

Si vous ne le faites pas, vous aurez les messages d’erreurs suivants à l’installation du RPM (d’abord libssl puis libcrypto une fois le premier corrigé):
Au final, j’ai les liens symboliques suivants:
lrwxrwxrwx  1 root root       16 Feb 16 16:19 libssl.so.6 -> libssl.so.0.9.8k
lrwxrwxrwx  1 root root       12 Feb 16 16:23 libcrypto.so.6 -> libcrypto.so

Je vous invite à copier le rpm (scx-1.0.4-248.rhel.5.x86.rpm), afin de valider la bonne installation. Sinon c’est SCOM qui le fera pendant le déploiement, et les messages de retour ne sont pas toujours explicite.
Par ailleurs, cela permet de voir le nom avec lequel le certificat est crée:

Il est toujours possible de le désinstaller:

rpm -e scx-1.0.4-248.i386

Ports TCP

SCOM va se connecter par deux moyens:
  • SSH
  • port 1270 (agent scom sur Linux)

Il faut configurer le parefeu Amazon afin que ces deux accès soient possibles. Si le port 1270 n’est pas joignable, SCOM remonte une erreur de timeout pas explicite. Le trafic vers ce port est confirmé par une trace réseau: NB: si vous ne connaissez pas Wireshark, j’ai fait une vidéo/tutoriel dessus, elle est disponible ici.

/etc/redhat-release

Par défaut, Fedora crée un lien symbolique de /etc/fedora-release vers /etc/redhat-release. il faut casser ce lien symbolique, et créer le fichier redhat-release avec comme donnée Red hat…:

rm /etc/redhat-release
echo "Red Hat Enterprise Linux Server release 5" > /etc/redhat-release

Modifications sur SCOM 2007 R2

Les actions à mener seront les suivantes:

  • Autoriser WinRM à faire de l’authentification basique
  • Importer les Managements Pack Linux/Unix génériques et Red Hat en particulier
  • Ajouter un compte de type Authentification basique pour se connecter au Linux (non root)
  • Ajouter un compte de type Authentification basique pour se connecter au Linux (root)
  • Associer les comptes ajoutés aux profiles Unix Action Account et Unix Privileged Account
  • Découvrir la VM Linux et signer le certificat

Ajouter la VM est passe comme une lettre à la poste si vous respectez bien les différents pré requis. Je vais donc m’attarder sur les problèmes que j’ai rencontré. Autoriser WinRM à faire une authentification basique: Si vous n’avez pas mis le bon hostname, le certificat est refusé au moment de le signer: Si vous ne déclarez pas de comptes, les workflow ne fonctionnent pas:

Au départ, la VM n’est pas encore supervisée et marquée « unknown »:

Puis elle passe ensuite au vert:

Voilà, à ce stade, votre VM est supervisée par SCOM 2007 R2. Voici quelques écrans de SCOM 2007 R2 une fois tout opérationnel:

Amazon EC2: rediriger les mails pour root via Google Apps

Ayant un peu patiné avec la configuration, je me dis que cela pourrait intéresser d’autres personnes…

Setup/Cahier des charges:

  • Fedora 11 sur une VM Amazon EC2 (voir ce précédent billet pour mettre à jour depuis la version 8 fournie)
  • Postfix, utilisé uniquement comme relais local vers Google Apps
  • S’authentifier sur Google Apps pour envoyer les mails
  • Rediriger les mails root sur ma boite (crontab…)

Voici les différentes étapes pour y arriver!

Configuration de Postfix

La configuration se fait sur plusieurs fichiers (en gras l’important):

/etc/postfix/main.cf

queue_directory = /var/spool/postfix
command_directory = /usr/sbin
daemon_directory = /usr/libexec/postfix
data_directory = /var/lib/postfix
mail_owner = postfix
mydomain = eu-west-1.compute.internal
myorigin = mondomainegoogleapps.fr
inet_interfaces = localhost
mydestination = $myhostname, localhost.$mydomain, localhost
unknown_local_recipient_reject_code = 550
alias_maps = hash:/etc/aliases
alias_database = hash:/etc/aliases
debug_peer_level = 2
debugger_command =
         PATH=/bin:/usr/bin:/usr/local/bin:/usr/X11R6/bin
         ddd $daemon_directory/$process_name $process_id & sleep 5
sendmail_path = /usr/sbin/sendmail.postfix
newaliases_path = /usr/bin/newaliases.postfix
mailq_path = /usr/bin/mailq.postfix
setgid_group = postdrop
html_directory = no
manpage_directory = /usr/share/man
sample_directory = /usr/share/doc/postfix-2.5.6/samples
readme_directory = /usr/share/doc/postfix-2.5.6/README_FILES
inet_protocols = ipv4
smtpd_tls_key_file =
smtp_use_tls = yes
relayhost = [smtp.gmail.com]:587
transport_maps = hash:/etc/postfix/transport
smtp_sasl_auth_enable = yes
smtp_sasl_password_maps = hash:/etc/postfix/sasl_passwd
smtp_sasl_security_options = noanonymous

/etc/postfix/sasl_passwd

[smtp.gmail.com]:587            emailQuiEnvoiMail@mondomainegoogleapps.fr:monmotdepasse

/etc/newaliases

[..]
root: monemailamoi@mondomainegoogleapps.fr

Appliquer la configuration

postmap transportpostmap sasl_password
newaliases
chkconfig postfix on
/etc/init.d/postfix restart

Tester

echo "hello world" | mail -s "mail envoye a root local" root

Explications

tous les mails à destination d’un domaine autre que mydestination ($myhostname, localhost.$mydomain, localhost) est routé via smtp.gmail.com en s’authentifiant auprès de ce dernier via le compte configuré dans sasl_passwd. Google Apps/Gmail remplacera le nom de l’expéditeur par le compte qui est utilisé pour envoyé le mail.

pour les mails envoyé à root, le système ajoute automatiquement @hostname.domain. Il faut donc que postfix considère eu-west-1.compute.internal comme étant son domaine. Bien sûr, il faut remplacer cette valeur par la région où est hébergée votre VM (grep search /etc/resolv.conf)


Convertisseur USB vers port série sous 2008R2 / 64 bit nickel chrome!

Suite à des problèmes d’accès sur un switch PowerConnect 6224, j’ai eu besoin d’accéder en port série..Vous avez, le truc qu’on utilise plus, la preuve tous les nouveaux portables en ont plus ! Pour savoir si un modèle de portable est vieux, il suffit de savoir s’il a encore un port série !

Il y a quelques années j’avais acheté un convertisseur USB/port série Belkin, mais pas de driver signé, et encore moins 64 bit. Par hasard, j’en ai trouvé un super bien !

  • Fonctionne sur 2008 R2, et donc 64 bit
  • Fonctionne sur MacOS X 10.6.2 (donc 64 bit encore)
  • Il possède une rallonge ce qui ne gâche rien

Convertisseur usb port série

Le constructeur est MCL Samar, je l’ai trouvé chez Surcouf (24.99€). Sur la boite, il y avait bien écrit « Windows 7 » mais je m’attendais à un pilote non signé, et donc pas 64 bit.
Que nenni, ils sous valorisent la qualité de leur travail:

  • Il fonctionne même sur 2008 R2 (pas de fichier ini avec une section qui ne s’applique qu’à Windows 7)
  • Il fonctionne même sur Mac, avec le package d’installation et tout alors que ce n’est même pas écrit sur la boite!

Afin d’être complet, le seul problème concerne le CD fourni, qui est tout petit en taille, et donc le lecteur DVD du macBook Air ne l’absorbe pas.

Je recommande vivement ce produit à tous ceux qui ont un portable et qui trimballe un câble cisco « au cas où » dans la sacoche !

Windows Server 2008 R2 – Administration avancée est sorti!

La nouvelle version du livre pour Windows Server 2008 R2 est disponible chez ENI, toujours à la fois en livre papier et numérique

Il s’applique toujours à la version précédente, car on a spécifié quand c’est R2 seulement. Il inclut également un nouveau chapitre dédié à la haute disponibilité